Dans le métro, je ne peux m’empêcher de me dire qu’il y a, chez tout être humain né dans notre société et en âge de se demander ce qu’il veut faire de sa vie, le même regard que chez l’animal né en captivité dans un zoo : le pressentiment que, même s’il n’a pas le droit de se plaindre parce que tout va bien pour lui, quelque chose de plus grand existe.

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